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Mémo-Page consacrée aux CONFLITS : qu'est ce qu'un conflit , comment se forme t'il ? comment évolut'il ? autant d'informations glannées aux hazards des navigations dans les mers du web ... et des temps utiles et fortuits ....
Bonne lecture et bon enrichissement !
En une vie combien de conflits avons nous connus ? et pourquoi naissent ils ?
il faut toujours garder à l’esprit que l’on pense RATIONNELLEMENT mais que l’on agit EMOTIONNELEMENT
- Les divergences d’intérêts d’ordre matériel (condition , marché, prix, délais, paiement etc. activent les risques de confilt .)
- Les divergences d’intérêts d’ordre affectif : Je t'aime si tu me comble mes besoins , je ne t'aime pas si tu m'apportes pas ce que je souhaiterais avoir
- Les divergences d’intérêts d’ordre immatérielles portant sur des valeurs de vie apparemment incompatible ….
- Les divergences d’intérêts d’ordre de l'égo , der l'état d'eprit des participant au conflits, des jugements des Préjugés, des conditionnements de son moi intérieur : Amour propre ou volonté de pouvoir …
3 éléments fondamentaux inter dépendants qui activent les conflits :
conflit de perception
- les acteurs restent bloqués sur leur point de vue personnel, sur les enjeux ou sur les situations …lorsqu’il oublie que tout évènement comporte de multiples facettes
conflit affectif
- Surgit quand les émotions des individus sont peu ou mal contrôlées
- Qu’il ya un amalgame entre le problème et la personne qui le pose ou que la situation rappelle des échecs antérieurs
- Dès l’instant où les acteurs activent certaines de leurs émotions ( peur colère joie ou tristesse) le risque du conflit s’accrois
Conflit de communication
- Apparaît lorsque les acteurs s’expriment mal , n’écoute pas ses interlocuteurs , ne se concentre pas sur le contenu de la négociation ou ne répond pas à la problématique soulevée, ou change de sujets pour ne pas répondre au fond et forme
Autres causes de conflit Composantes liées au fonctionnement mental propre à chacun..
Résolution de conflits
Il existe des conflits dans toute organisation; dans une certaine mesure, les conflits sont signe d'un sain échange de vues et de créativité. Les conflits peuvent cependant être nuisibles et entraîner le mécontentement des employés, une baisse de la productivité, un piètre service à la clientèle, l'absentéisme et un plus haut taux de roulement du personnel, un stress plus important lié au travail ou - ce qui est pire - des litiges fondés sur des plaintes pour harcèlement ou un milieu de travail hostile.
Dans cette section, nous étudions la gestion des conflits quotidiens qui se produisent dans tout milieu de travail - comment les percevoir et les comprendre, et comment les gérer efficacement. En tant que DG ou gestionnaire, c'est souvent notre rôle de discerner si un conflit est une composante normale d'une journée de travail et des relations de travail, ou s'il s'agit d'un problème plus sérieux nécessitant de recourir à des services externes et/ou d'appliquer une politique et une procédure plus formelles de résolution de conflits.
Source utilisée pour la construction du tout savoir sans jamais oser le demander : http://hrcouncil.ca/info-rh/milieux-de-travail-conflits.cfm
Définition :Un conflit c’est une forme de convention bilatérale dont l’objectif réside dans la production d’un accord
Sources fréquentes de conflit
Les conflits font inévitablement partie des relations humaines. Lorsque l'engagement envers la mission et les longues heures de travail vont de pair avec de maigres ressources, les milieux de travail bénévoles et communautaires peuvent donner lieu à des conflits interpersonnels. Les conflits peuvent surgir lorsque les points de vue divergent et que les préoccupations semblent incompatibles. Si nous pouvons accepter les conflits comme un élément naturel de notre paysage émotionnel - au lieu d'attendre (ou d'espérer!) qu'ils disparaissent et ne surgissent plus-, nous pourrons les résoudre plus facilement.
Les gestionnaires doivent pouvoir discerner et comprendre les différents niveaux de conflit et les façons dont se manifestent les conflits à chaque niveau. Un des premiers signes qu'il existe un conflit est un sentiment tenace ou une tension qui vous indique que quelque chose se prépare. Prêtez attention au langage non verbal: bras croisés, yeux baissés, le fait de s'asseoir dos à vous ou loin de vous ou du groupe. Ces signes peuvent vous donner des indications importantes de la situation qui prévaut et ils peuvent vous aider à cerner les prochaines étapes à suivre. Si l'on ne réagit pas à ces signes en temps opportun, la situation peut dégénérer en un niveau plus élevé de conflit et l'opposition peut se manifester plus directement, avec conviction. On aborde de façon plus approfondie, dans les sections ci-dessous, cet aspect des conflits.
Les premiers signes d'avertissement font le plus souvent partie d'une dynamique plus complexe qui s' installe au sein d'une organisation. Dans le cadre d'une analyse, il est utile de comprendre la source des conflits potentiels; voici des sources fréquentes de conflit:
- Le conflit de valeurs surgit lorsqu'il y a incompatibilité dans les préférences, les principes et les pratiques auxquelles croient les personnes, par exemple la religion, l'éthique ou la politique.
- Le conflit de pouvoir se produit lorsque chaque partie désire maintenir ou maximiser l'influence qu'elle exerce au sein d'une relation ou d'un environnementsocial, par exemple dans un processus de prise de décision.
- Le conflit économique surgit lorsqu'on dont rivaliser pour obtenir de maigres ressources, par exemple des ressources financières ou des ressources humaines.
- Le conflit interpersonnel se produit lorsque deux personnes (ou plus), dans le cadre de leur relation, ont des besoins, des buts ou des approches incompatibles - par exemple différents styles de communication ou de travail.
- Le conflit organisationnel dépend des inégalités en raison de l'organigramme et des relations entre supérieurs et subordonnés.
- Le conflit découlant du contexte est un conflit causé par des facteurs extérieurs à l'organisation, par exemple une récession, un changement de gouvernement ou un haut taux d'emploi.
Si vous pouvez identifier la source d'un conflit, il vous sera plus facile de le résoudre. Il est important de souligner qu'une variété de facteurs ont une incidence sur le moment et la manière dont les conflits surviennent. Afin de bien comprendre la situation, étudiez toutes les sources de conflit mentionnées ci-dessus avant de prendre une action. Voyons maintenant les différentes façons d'aborder et de gérer les conflits.
Comprendre les styles de conflit




Thomas et Kilmann (1972) ont élaboré un modèle exposant cinq stratégies - ou styles de gestion des conflits - que l'on retrouve fréquemment. Ils affirment que les gens ont généralement une façon personnelle et habituelle de gérer un conflit, qui se manifeste lorsqu'ils sont soumis à la pression. Bien qu'il soit possible que cette manière soit le style le plus efficace pour résoudre un conflit, très souvent ce n'est pas le cas et cela ne sert qu'à envenimer la situation. Une première étape pour gérer les conflits est de découvrir votre (vos) style(s) préféré(s) de conflit, ce qui vous permet ensuite d'apprendre comment gérer une variété de situations en utilisant différentes approches.
Ces styles relèvent de deux attitudes de base:
L'assertivité, attitude selon laquelle les comportements d'une personne visent à satisfaire ses propres intérêts. Cette dimension est également liée à l'atteinte des objectifs personnels.
La serviabilité, attitude selon laquelle les comportements d'une personne visent à satisfaire les intérêts d'une autre personne. Cette dimension suppose un souci pour la relation.
La combinaison de ces deux dimensions résulte en cinq comportements en cas de conflit:
- l'accommodement,
- la compétition,
- l'évitement,
- la collaboration
- et le compromis.
Chaque style est approprié dans des contextes particuliers et l'idéal est d'apprendre comment agir de façon stratégique lorsqu'on aborde un conflit.
Accommodement
L'accommodement est un style où l'on ne s'affirme pas et où l'on collabore. L'objectif ici est de céder. En général, une personne utilisant ce style de conflit néglige ses propres besoins pour satisfaire les intérêts d'une autre personne. Cette attitude en est une d'abnégation et vise à préserver la relation plutôt qu'à réaliser un objectif. Ce style est aussi qualifié d'apaisement - on désire éviter les heurts - et c'est le contraire de la compétition.

Devise : « J'accepte tout ce que tu veux.»
Pour : Cette attitude peut aider à maintenir des relations harmonieuses, on peut admettre qu'il existe une meilleure façon de faire les choses.
Contre : Le fait de ne pouvoir satisfaire ses propres besoins peut engendrer du ressentiment et diminuer votre influence - attitude du martyr.
Compétition
Le style compétitif est orienté vers le pouvoir: la personne s'affirme beaucoup et collabore peu. L'objectif ici est de gagner - la personne suit son programme sans s'occuper de l'autre. Il peut s'agir de défendre ses propres besoins ou une situation enviable, ou simplement d'essayer de gagner. On accorde beaucoup d'importance à l'objectif. Ce style est aussi appelé «force» ou style dominant.
Example
Devise : « C'est ça ou rien.»
Pour : Attitude où l'on décide et s'affirme, satisfaisant ses propres besoins.
Contre : Ce style peut nuire aux relations, abaisser les autres.
Évitement
L'évitement est un style par lequel on ne s'affirme pas et on ne collabore pas. L'objectif ici est de retarder les choses. La personne n'essaie pas immédiatement de satisfaire ses intérêts ou ceux d'autrui; elle est indifférente à la façon dont le problème sera solutionné et à la relation interpersonnelle, et elle se retire ou remet à plus tard le règlement du conflit. Cette attitude peut favoriser un répit nécessaire face à une situation ou au contraire envenimer les choses si le problème continue à être ignoré. Cette attitude est aussi qualifiée de fuite.

Devise : « J'y penserai plus tard.»
Pour : Ne pas tout prendre au sérieux, les délais peuvent être utiles.
Contre : La pression s'accumule et l'éclatement se produit; on ne règle pas les enjeux importants; le fait d'éviter le problème pour ensuite le régler peut parfois demander plus d'énergie.
Collaboration
La collaboration est un style où l'on s'affirme tout en collaborant. L'objectif est de trouver une solution qui convienne à tous. En général, en adoptant cette attitude, on cherche à trouver des solutions créatives aux problèmes afin de satisfaire les intérêts des deux personnes impliquées; on apprend, on écoute et on agit en tenant compte des intérêts de l'organisation et des intérêts des personnes. Cela demande du temps et des efforts. Cette attitude est aussi qualifiée de méthode de résolution de problèmes ou style intégrateur, et c'est le contraire de l'évitement.

Devise : « Deux têtes valent mieux qu'une.»
Pour : Trouver la meilleure solution pour tous, ce qui engendre un haut degré d'engagement et une plus grande créativité pour la résolution des problèmes, et contribue à édifier une équipe.
Contre : Ce style demande du temps et de l'énergie; il peut être épuisant et inutile de l'appliquer à tous les conflits.
Compromis
Le compromis est une attitude à mi-chemin entre l'affirmation de soi et la collaboration. L'objectif est de vite trouver un terrain d'entente. Les parties trouvent une solution rapide et mutuellement acceptable, chaque personne faisant des concessions. Cette attitude est aussi appelée « partage ».

Example
Devise : « Concluons une entente.»
Pour : On trouve rapidement une solution qui satisfait les besoins des deux parties; on règle temporairement des problèmes complexes; c'est une alternative lorsque les stratégies de compétition et de collaboration ont échoué.
Contre : Ce style peut engendrer des problèmes et empêcher de trouver des solutions à plus long terme; les compromis acceptés peuvent se révéler non satisfaisants et devoir être revus.
Remarque sur les styles de conflit :
Tous les styles sont pertinents, utiles et, lorsque utilisés de façon stratégique, ils peuvent vous aider à gérer un conflit avec succès. La plupart des gens ont une réaction instantanée devant la désignation des styles de conflit, croyant que certains sont meilleurs que d'autres. On peut porter rapidement un jugement et croire que la compétition est un mauvais style et la collaboration un bon style.
Il faut réfléchir avant de poser un jugement de valeur; chaque style est utile et nécessaire. Plus une personne peut maîtriser les styles de conflit et les utiliser en temps opportun, plus elle sera capable de gérer les tensions et les conflits. Si vous croyez qu'un style de conflit est meilleur qu'un autre, vous vous limiterez à certains styles qui ne vous seront peut-être d'aucun secours ou vous jugerez les autres personnes qui ont parfois recours à certains styles. Il est évident que si une personne adopte toujours une attitude compétitive, il en résultera des effets négatifs tant pour cette personne que pour les gens qui l'entourent. Et on peut dire la même chose de tous les autres styles de conflit. Ce qu'il faut faire, c'est comprendre quel est le style adapté à une situation.
Utiliser de façon stratégique les styles de conflit
Bien que chaque personne puisse utiliser, selon les différentes situations, les cinq styles de conflit, on a tendance à adopter habituellement une ou deux attitudes en cas de conflit. Par exemple, devant un conflit, une personne peut inconsciemment recourir à un compromis même si la situation évoluerait plus rapidement et plus efficacement avec un accommodement. Afin de régler efficacement une situation de conflit, il faudra apprendre à utiliser les différentes stratégies de gestion de conflit.
Grille de stratégie
Pour utiliser de façon stratégique les styles de conflit, on peut se servir de la grille suivante. Évaluez d'abord la situation : Qu'est-ce qui est pour vous le plus important? L'équipe? L'organisation? Est-ce l'objectif ou la relation en jeu? Lorsque la relation prime, utilisez les stratégies qui se trouvent du côté droit de la grille (collaboration ou accommodement). S'il est crucial de maintenir avant tout l'objectif, vous pourriez utiliser les deux stratégies qui se trouvent au haut de la grille (compétition ou collaboration). Lorsque l'objectif et la relation sont également importants, un compromis serait probablement la solution la plus efficace. Lorsque l'objectif et la relation importent peu, il se peut qu'il convienne plutôt d'éviter le conflit.
Aide-mémoire :
Objectif crucial (le plus important) et relation négligeable = compétition 

Objectif négligeable et relation cruciale = accommodement
Objectif ET relation cruciaux = collaboration
Objectif ET relation négligeables = évitement
Objectif et relation relativement importants, mais aucun plus que l'autre = compromis
Comment naît le conflit ?
Le conflit naît toujours d'un désaccord entre deux parties.
Ce désaccord peut alors faire naître :
- La fuite : chacun abandonne la discussion et s'en va de son côté en comprenant que l'autre partie ne changera pas d'avis.
- L'impasse : la discussion n'aboutit pas chacun tentant de prendre une position dominante. Soit l'autre se soumet et la discussion cesse, soit l'autre surenchérit et le ton monte créant le conflit.
- L'éloignement mutuel : en l'absence d'un quelconque dialogue possible entre deux parties, chacun s'éloigne. Le conflit reste en sommeil et l'évitement ne résout pas le problème où la situation conflictuelle reste latente.
- Le harcèlement moral : lorsqu'un conflit est résolu en apparence mais que l'un des deux acteurs garde néanmoins une certaine rancœur et ne parvient pas à lâcher-prise de ce qui s'est passé, il peut se produire un phénomène de harcèlement moral. Pour se venger d'une situation où il estime avoir été lésé, il va harceler moralement l'autre partie.
Apprendre la gestion des conflits
Il existe deux sortes de conflits :
Ceux où l'on est spectateur et où l'on peut faire office de médiateur lorsque la situation s'y prête.
Ceux où l'on est acteur et où l'on peut agir dans le sens de la résolution du conflit.
Exemple 1 : c'est le cas de l'employé qui subit chaque jour le conflit qui existe entre ses deux collègues de bureau et qui souhaite rester en dehors en ne prenant pas partie.
Exemple 2 : c'est le cas du voyageur qui est témoin d'un conflit entre deux autres voyageurs assis à côté de lui dans le même compartiment.
Ce qui aide dans la gestion des conflits
Voici quelques pistes pour réussir à gérer les conflits :
Une meilleure connaissance de l'autre :
Des outils de communication comme la PNL ou l'analyse transactionnelle permettent de mieux connaître les autres et de comprendre que nous ne fonctionnons pas tous de la même façon.
En comprenant les différences, tout en gardant un comportement assertif, on peut exprimer ses idées sans demander à l'autre d'être forcément d'accord à tout prix.
Trouver le bon mode :
Pour gérer un conflit, il vaut mieux fonctionner sur le mode gagnant-gagnant et non pas gagnant-perdant.
Ainsi, trouver une solution à un problème entre deux personnes n'est valable que si chacun y trouve son compte. Si l'un des deux est lésé, la solution n'est pas la bonne.
Beaucoup de conflits naissent d'un manque d'écoute.
Savoir écouter : les conflits naissent souvent d'un manque d'écoute. L'une des deux parties se concentre sur ce qu'elle a à dire, mais oublie d'écouter ce que l'autre en pense.
Apprendre à s'exprimer sans agressivité : lorsqu'un conflit éclate, c'est souvent parce que l'une des deux parties n'a pas su gérer ses émotions. Au lieu d'énoncer calmement les divers points divergents, elle explose en cris et l'autre surenchérit ou ne peut plus rien dire.
Les moyens d’éviter les conflits
Définition un cadre d’échange préalablement défini et acceptée par les parties
La définition d’un cadre est source de situation conflictuelles et qu’il entraînera par la suite un dérapage sur le contenu
Des « règles » du jeu précisent et facilitent le dialogue et limite les risques de conflits
Définition un cadre d’échange préalablement défini et acceptée par les parties
La définition d’un cadre est source de situation conflictuelles et qu’il entraînera par la suite un dérapage sur le contenu
Des « règles » du jeu précisent et facilitent le dialogue et limite les risques de conflits
3 éléments
conflit de perception
les acteurs restent bloqués sur leur point de vue personnel, sur les enjeux ou sur les situations …lorsqu’il oublie que tout évènement comporte de multiples facettes
conflit affectif
Surgit quand les émotions des individus sont peu ou mal contrôlées
Qu’il ya un amalgame entre le problème et la personne qui le pose ou que la situation rappelle des échecs antérieurs
Dès l’instant où les acteurs activent certaines de leurs émotions ( peur colère joie ou tristesse) le risque du conflit s’accrois
Conflit de communication
Apparaît lorsque les acteurs s’expriment mal , n’écoute pas ses interlocuteurs , ne se concentre pas sur le contenu de la négociation ou ne répond pas à la problématique soulevée
Autres causes de conflit Ou autres Composantes liées au fonctionnement mental propre à chacun
Les divergences d’intérêts d’ordre matériel (condition marché prix délais, paiement etc..)
Cheminement de la réflexion…. approche monochrome linéaire ? ou approche polychrome structurées ?
Echelle des valeurs apparemment incompatible ….Préjugés parfois méconnu
Amour propre ou volonté de pouvoir …
il faut toujours garder à l’esprit que l’on pense RATIONNELLEMENT mais que l’on agit EMOTIONNELEMENT

